Celui qui écrit des livres est tout (un univers unique pour lui-même et pour tous les autres) ou rien. Et parce qu’il ne sera jamais donné à quelqu’un d’être tout, nous tous qui écrivons des livres, nous ne sommes rien. Milan Kundera
Un livre, des lecteurs
Personnellement, j’aime le caractère parfois (souvent) radical de Milan Kundera, il a le mérite de nous pousser dans des retranchements et nous faire réfléchir.
Sans doute tout individu n’est pas rien mais en matière d’écriture et production de livre, l’auteur est peu de choses s’il ne trouve pas son lectorat et ses critiques pour faire vivre son travail au-delà des pages reliées.
Ecrire un livre est une aventure mais lorsque les premiers exemplaires sont livrés, c’est là que l’on se rend compte que l’essentiel commence. Le principe de réalité vous rattrape, vos lignes vont passer de mains en mains, de lectures en cerveaux, d’interprétations en critiques, d’arguments en discussions.
Emission et réception
Entre l’émission d’un message et la réception qui en est faite, il existe toujours un phénomène d’interprétation. C’est cela qui peut faire toute la richesse de la discussion.
Mais avant de retrouver tout le fruit de vos cogitations, nous avons d’ores et déjà reçu quelques images de vos exemplaires fraîchement livrés!! Et cela provoque un réel plaisir de le voir entre vos mains. Que vous l’ayez reçu par La Poste ou des mains de Clara (assistante éditoriale, Diateino) ou de l’éditrice elle-même munie de son fidèle destrier à pédales, Twitter montre encore (s’il en était besoin) son caractère temps réel. Vos tweets et twitpics postés nous ont donné le sourire, merci! Il en est de même pour vos premiers retours sur la page fan du livre
Discussions et contributions
Que celles et ceux d’entre vous qui auraient envie de porter leurs commentaires, premières impressions, le fassent, nous y répondrons! Et si vous aviez envie de contribuer à ce blog en proposant un ou des billets, nous ne pouvons que vous y inviter!!